
Une amie me posait cette question récemment et je n’y ai pas répondu parce que je ne savais que répondre. Elle doit d’ailleurs me trouver bien grossière de l’avoir laissée en plan avec sa question. J’espère que cet article sera une contribution pour elle. Je la remercie donc de m’avoir posé cette question qui m’a amenée à m’en poser moi-même des tonnes.
Je dois me rendre à l’évidence, je n’en pense rien.
Il y a des milliards et des milliards de virus et bactéries sur cette planète et le fait que la civilisation a cru bon de paralyser la planète quasi entière pour celui-ci m’échappe. Mais je n’entrerai pas ici dans un quelconque débat qui serait vain. Je n’ai personne à convaincre de quoi que ce soit… J’observe simplement ce qui se passe.
Aujourd’hui, celui qui détient le pouvoir, c’est celui qui détient les données.
Nous vivons dans un monde où tout se technologise de plus en plus, où tout est de plus en plus dicté par du non-humain, par des intelligences artificielles qui font fi de toutes les intuitions, inspirations, talents et génies personnels pour privilégier les statistiques, les probabilités, les projections. Aujourd’hui, celui qui détient le pouvoir, c’est celui qui détient les données. Dont il dispose et qu’il dispense pour servir ses intérêts.
La dictature des experts
Ensuite, les données sont livrées à des analystes, des experts qui bien souvent n’ont aucun contact avec le « terrain » et dictent la conduite à suivre face à un virus dont ils ne savent rien pour conseiller des gouvernements qui en savent encore moins. Et sous le spectre menaçant d’un désastre planétaire, des pans entiers de la population suivent, angoissés, inquiets ou paniqués, pris par le doute, les injonctions sécuritaires et sanitaires sans se poser de questions.
Qui sait le mieux ce qui se passe dans votre corps?
Imaginez que l’on vous diagnostique d’une maladie dite « grave ». Prenez-vous ce diagnostic pour argent comptant ? Ou bien interrogez-vous votre corps pour savoir exactement ce qui se passe pour lui ? Oups, je viens de trahir ma bizarrerie ! Mais au fond, qu’est-ce qui est le plus bizarre ? Consulter son corps pour savoir ce qui se passe avec lui ou bien demander à un étranger ce qui se passe ? Bien sûr, ce dernier pourra vous fournir certaines informations, mais qui confronte l’information à la réalité du corps ?
J’ai pris conscience que je faisais cela avec ma santé. Avant. Et avec les spécialistes des domaines où j’avais décidé que je n’y connaissais rien. Et ce faisant, j’ai totalement nié ce que je savais ou ma capacité à poser des questions pour distinguer les informations utiles des mensonges.
Que savez-vous, réellement ?
La réalité est qu’au-delà des connaissances définissables et consignables par écrit dans une bibliothèque de connaissances, il y a ce que vous SAVEZ. Mais le savoir n’est pas une commodité couramment reconnue dans notre monde… Si vous ne pouvez justifier par la raison votre propos, celui-ci sera tout simplement invalidé. Nous vivons dans un monde de preuves.
L’illusion de la « preuve »
Mais peut-on jamais prouver quoi que ce soit ? Internet, les instituts de recherche en tous genres, ne sont-ils pas remplis de vérités prouvées… et contradictoires ? Les informations que l’on nous livre sont-elles exactes ? Il faudrait être bien naïf pour croire que toutes les informations dont on nous inonde au quotidien sont correctes et même que l’intention de ceux qui la fournissent est de nous dire la « vérité »…
Un outil fiable pour accéder à votre savoir: la question !
Alors, voici un outil formidable pour accéder à VOTRE savoir. Quelque chose qui fait vous sentir plus léger est vrai pour vous et quelque chose qui fait vous sentir plus lourd est un mensonge pour vous. C’est tout. Après, il s’agit de s’entraîner pour percevoir progressivement de plus en plus clairement le léger et le lourd.
Posez des questions sur absolument tout pour accéder à cette clarté. Si vous n’aviez aucun point de vue ni jugement sur rien, demandez : Vérité…
- Qu’est-ce que je sais, moi, sur le Coronavirus et la Covid ?
- Est-ce que mon corps est susceptible de l’attraper ?
- Si oui, Corps, quelles mesures dois-je prendre ? Que requiers-tu ?
- Si non, suis-je un risque pour les autres ? Quelles mesures dois-je prendre ?
- Parmi tous les outils, remèdes, nutriments, aliments, etc. à ma disposition, lequel sera-t-il une contribution pour mon corps ?
- L’information que tel média/gouvernement me donne est-elle correcte ?
- Cette information est-elle correcte ? Partiellement correcte ? Incorrecte ?
- Ces experts savent-ils vraiment de quoi ils parlent ?
- Ce gouvernement/cette institution/cette compagnie pharmaceutique ont-ils vraiment à cœur le meilleur intérêt de la population ? Partiellement ? Pas du tout ?
- Quand j’ai peur, je doute, etc., suis-je dans la réaction ? Et si je n’étais pas dans la réaction, qu’est-ce que je saurais ?
Et ainsi de suite… Et surtout ne cherchez pas de réponse ! Une question renforce, une réponse déforce… Observez si cela vous rend lourd ou léger, et/ou oubliez que vous avez posé cette question, et l’information vous viendra.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, cette façon de procéder est très fiable. Vous saurez exactement à quoi vous en tenir. Et n’oubliez pas que ce qui est vrai pour vous, ne l’est pas forcément pour quelqu’un d’autre !
Et que cela ne vous empêche pas d’avoir toujours un masque sous la main et d’appliquer les règles et recommandations en vigueur autour de vous. Choisissez simplement de les appliquer en conscience, et non par réaction ou peur… Qu’est-ce qui va créer le plus pour tout le monde ?