Article

Choisir le plaisir…

Quelle est la place du plaisir dans votre vie ?

Qu’évoque pour vous le mot plaisir ? Quelle place lui accordez-vous dans votre vie ? La majorité de votre vie, ou que de rares instants ? Et si le plaisir était un choix ? Un mode de vie ? Petite exploration dans l’hédonisme…


Le plaisir dans le dictionnaire…

Consultez-vous régulièrement les dictionnaires ? Ils sont une source très intéressante d’informations ! Il est hélas courant que les mots aient perdu leur sens d’origine pour devenir quelque chose de différent.

Définition du mot hédonisme
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/h%C3%A9donisme/39320

Comment diable l’hédonisme est-il passé d’une philosophie qui fait du plaisir le but de la vie à l’activité économique de recherche du maximum de satisfaction par le minimum d’efforts ??? Je vous invite à puiser dans l’énergie de la première définition. Vous l’avez ? Puisez alors maintenant dans la deuxième. Vous l’avez ? Alors, c’est comment ? Laquelle des deux vous séduit-elle le plus ? Laquelle des deux est-elle la plus légère ?

Aujourd’hui, le monde consumériste vous pousse à la satisfaction immédiate et sans effort (nous reparlerons de l’effort dans un prochain article!), et en même temps… combien de jugement la société porte-t-elle sur le plaisir ? Si vous prenez du plaisir, vous êtes probablement vain et paresseux, ou bien riche et oisif (eh oui, vous êtes un tort sur pattes si vous avez les moyens de vous offrir du plaisir !).

Avez-vous vous vraiment ces points de vue? A qui appartiennent-ils ? Probablement pas à vous. Et pourtant, les laissez-vous avoir un impact sur vous ? Bref, vous voilà coincé entre des points de vue contradictoires que vous défendez peut-être d’une part, tout en ignorant les autres, voire les mêmes, d’autre part…

Le plaisir, c’est avec le corps…

Ce midi tandis que je rentrais de mon coworking préféré, et que j’étais en train de poser des questions sur ce que je pourrais bien faire de mon après-midi, j’eus envie d’aller travailler encore un peu hors de chez moi dans une brasserie, pour simplement m’y poser et travailler à la relecture d’une traduction de livre, activité pour laquelle je suis la plus efficace dans les cafés.

Le plaisir d’être dans un lieu de croisements, de rencontres, de va-et-vient, de convivialité, où l’on a aucune tentation ménagère. Je me nourris probablement aussi du plaisir des autres clients, du bruit des conversations d’où jaillissent de temps à autres des bribes, du gargouillement de la machine à café, de l’affairement attentif des serveurs. Le plaisir…

Mais tout cela n’est un plaisir que si vous êtes prêt à en saisir la jouissance ! C’était encore l’heure du déjeuner. Tiens, corps, est-ce que tu as faim ? Généralement, je ne fréquente pas seule ces endroits aux heures de repas, mais là… Et alors, mon corps m’indiqua sur la carte le cabillaud au beurre et poireaux à la vanille, j’en perçus instantanément le potentiel orgasmique : « oui, ça ! »

La vie devrait être une expérience orgasmique, femme goûtant une préparation avec délectation

Et, sans attente particulière, si ce n’est la confiance que je fais à mon corps quand je le laisse choisir dans la carte, je fus comblée. Chaque bouchée était un délice, j’en prenais de petites bouchées, que je laissais fondre dans la bouche, demandant à mes papilles d’en saisir toutes les saveurs, le doux de la vanille, le piquant du poivre, l’onctuosité du beurre, la texture particulière du poisson, le grillé de sa peau, les mots me manquent… J’en fis bien sûr un retour enthousiaste à la serveuse, m’assurant que le compliment orgasmique aille jusqu’aux oreilles du chef, ce dont on m’assura ! Et, le plaisir pour la serveuse, et celui que j’imagine du chef, à recevoir le compliment, quel plaisir aussi pour soi !

Combien de fois prenez-vous la peine d’exprimer verbalement votre gratitude à ceux qui vous procurent les innombrables plaisirs du quotidien ? J’y inclus le plaisir de travailler dans des bureaux propres, le chauffeur qui vous cède courtoisement le passage, même si le code l’y oblige, le livreur qui fait son travail avec le sourire… Les occasions sont innombrables et je vous invite à pratiquer ceci aussi souvent que possible, vous verrez ce que cela crée dans votre vie, et celle de ceux que vous croisez…

Quelques clés pour créer du plaisir dans votre vie

  • Incluez votre corps à chaque instant de votre vie
  • Et demandez-lui ce qui lui ferait plaisir
  • Demandez: Qu’est-ce qui pourrait nous procurer du plaisir maintenant ? (Nous, c’est mon corps et moi)
  • Dressez une liste de tout ce qui vous procure du plaisir et puisez-y quand vous êtes à court de plaisir. Incluez autant les plaisirs matériels et physiques que les plaisirs immatériels (observer un chat se mouvoir, faire un compliment sincère, etc.)
  • Demandez à tous vos plats, vos desserts, vos boissons, à l’eau de votre douche, au sable de la plage, etc. de vous montrer leur énergie orgasmique
  • Explorez tous vos sens et plus encore
  • Soyez l’énergie du plaisir, c’est juste un choix !

Quel impact auriez-vous sur le monde si vous choisissiez de plus en plus le plaisir?

Si vous avez envie d’avoir plus de plaisir dans votre vie et que cela vous paraît difficile, pensez peut-être à réserver une séance de coaching ?

Et si je vous ai ouvert l’appétit avec le cabillaud, vous pouvez aussi aller explorer la carte de la brasserie Le Félicien en région namuroise (Belgique).

Article

Allô ! Ici, ton corps ! Est-ce que tu m’entends ?

3 outils pour dialoguer vraiment avec son corps

Ecouter son corps n’est plus tout à fait un concept farfelu, lui parler, un peu plus, mais lui poser des questions sur ce qu’il désire et requiert est une autre histoire ! Et suivre ses indications encore plus ! Beaucoup confondent écouter son corps et conclure un tas de choses qui n’ont rien à avoir avec ce que le corps requiert et désire réellement sans vraiment l’avoir consulté… Alors, comment faire pour vraiment dialoguer avec son corps ? 

1. La liste de gratitude

Pendant de nombreuses années, j’ai été atteinte de surdité chronique et de jugement perpétuel avec mon corps. Le jugement démarre au réveil ou, au mieux, devant le miroir de la salle de bains et ne cesse jusqu’au coucher. Fatigué, vieillissant, trop ceci, trop peu cela, bobo par ici et bobo par-là… Commencez par simplement reconnaître que c’est ainsi qu’on nous a inculqué à être avec notre corps. C’est OK, vous n’êtes pas en tort !

Et si votre corps était une merveilleuse création – la vôtre ! – avec sa propre conscience, ses propres besoins et désirs ? Et si vous faisiez de votre corps l’indéfectible partenaire de vie qu’il est en réalité ? Et si au lieu de le juger du matin au soir et du soir au matin, vous choisissiez maintenant de reconnaître ses mille et uns cadeaux ?

Dressez une liste de gratitude pour votre corps. Tous les matins, passez votre liste en revue et ajoutez-y des éléments. Demandez : « Quels sont tous les cadeaux que mon corps m’offre ? » Si vous avez du mal au début, c’est normal, vous aviez l’habitude de ne voir que ses supposés défauts… Continuez à poser la question, et laissez-vous vous émerveiller! Et remerciez-le.

2. Corps, que désires-tu, que requiers-tu ?

Si vous n’aviez pas de corps, auriez-vous besoin d’argent ? De vêtements ? De nourriture ? De sexe ? De mouvement ? D’une voiture ou d’un vélo ? Non. Vous n’avez pas besoin de toutes ces choses. C’est votre corps qui en a besoin. Et pourtant, lui demandez-vous son avis ? Oups…

Et si maintenant, avant de vous habiller, vous demandiez :  » Corps, montre-moi ce qui te ferait plaisir de porter aujourd’hui ? » (Ah, oui, j’oubliais de dire… Votre corps aime l’aisance, le plaisir…) Ne cherchez pas de réponse, laissez-le simplement vous montrer à sa façon et cela pourrait être différent chaque jour.

Ne désespérez pas de saisir les informations qu’il vous donne. Vous avez été pratiquement sourd-muet avec votre corps depuis si longtemps ! Donnez-vous le temps de reconnaître sa communication. Aujourd’hui, si j’enfile un vêtement que mon corps a envie de porter, il s’enfile tout seul, la sensation est tout simplement légère et joyeuse, aisée. Si par contre, il n’en n’a pas envie, le vêtement est difficile à mettre, il est insupportable à garder contre son gré ! Mais cela n’est venu que graduellement et parfois, il communique autrement. Un vêtement semble porter des panneaux fluorescents disant : « Moi, moi, moi, porte-moi aujourd’hui ! » et bien d’autres façons encore.

Faites de même avec tout ce qui concerne votre corps. Bien sûr, il est utile de commencer par un simple « Corps que désires-tu ? Que requiers-tu ? Puis, « Corps, désires-tu manger ? » Ce n’est pas parce que c’est l’heure officielle du repas qu’il a forcément envie de manger… « Corps, que désires-tu manger ? » « Corps, quels mouvements souhaites-tu faire » « Corps, avec qui souhaites-tu coucher ? » Et laissez-vous surprendre ! Il pourrait vous demander des choses que vous n’auriez jamais choisies – vous ou votre tête ! Et préparez-vous au plaisir !

3. Corps, qu’essaies-tu de me dire ?

En réalité, votre corps est un véritable émetteur-récepteur. Tout ce que vous appelez sentiments, sensations ou douleurs sont en réalité des informations que votre corps vous donne. En général, il est très subtil dans sa communication. Mais comme nous sommes souvent sourds à ses messages, nous ignorons royalement l’information, les balayant d’un revers de manche, n’hésitant pas à ignorer ses demandes pressantes de sommeil, de manger (ou d’arrêter de manger), de boire (ou d’arrêter de boire), de se lever du bureau, d’aller bouger, etc.

Corps, qu’essaies-tu de me dire ?

Après avoir tenté la subtilité, votre corps vous envoie des messages de moins en moins discrets pour finalement atteindre la douleur, moment où, généralement, enfin l’être se réveille (ou pas !) et se dit qu’il faut y remédier. Et s’il n’était pas nécessaire d’attendre d’avoir mal pour demander au corps ce qui se passe ? Il ne s’agit peut-être même pas de vous ! Demandez-lui : « Corps qu’essaies-tu de me dire ? »

Vous n’aurez peut-être pas la prise de conscience immédiatement, vous avez peut-être quelque résistance à entendre le message si vous entretenez quelques secrets envers vous-même… Mais si vraiment, vous êtes désireux de recevoir l’information, continuez à poser la question et au moment le plus inattendu vous ferez un grand « Ahhhhhhh, c’était donc ça ! »

Pour aller plus loin…

Commencez à jouer avec ces outils et voyez toutes les transformations qui seront alors possibles… Il ne vous reste plus qu’à choisir !

  • Vous trouverez ces outils et bien d’autres encore dans le livre que j’ai eu l’immense plaisir de traduire : Le juste Corps pour toi de Donnielle Carter et Gary Douglas. C’est le premier livre d’Access Consciousness® que j’ai lu et inutile de vous dire qu’il a carrément transformé ma vie !
  • Je propose régulièrement des classes de processus corporels et Access Bars d’Access Consciousness. Vous les trouverez ici.
  • Et bien sûr, vous pouvez toujours réserver une séance de facilitation ou de processus corporels ici.

    Comment ça devient encore mieux que ça ?
Article

Que désires-tu vraiment créer dans le monde?

Longtemps j’ai entendu parler d’objectifs, de mission de vie, de but, de raison d’être… Et tout ce qui me venait me paraissait être d’une arrogance suprême et certainement loin de la vérité. Je devais sûrement me dire cela pour justifier une certaine valeur à mon existence. Jamais personne ne m’avait posé la question « Que désires-tu vraiment créer dans le monde? » en m’expliquant que le but n’était pas de chercher une réponse, mais d’accéder à ce qui est profondément vrai pour moi…

Que désires-tu vraiment créer dans le monde ? Voilà une question qu’il m’a fallu poser maintes et maintes fois pour enfin avoir la prise de conscience que j’avais toujours su ce que je voulais créer dans le monde, mais que j’avais tellement jugé être un but dans la vie cliché, utopique et arrogant – Tu te prends pour Mère Theresa ou quoi ? – que je l’éliminais de mon champ des possibles. Je ne posais pas de questions…

Ainsi, chaque fois que la question était posée, à l’intérieur, je me disais : mouais, c’est ce que tout le monde répond, ce n’est pas ce que MOI je veux créer dans le monde. Mais alors, si ce n’est pas ça, qu’est-ce que c’est ? Mon ‘qu’est-ce que c’est’ était généralement accompagné d’une tonne de conclusions et de jugements par derrière que je tournais en rond. Le secret, avec les questions dont on a l’impression que la prise de conscience ne viendra jamais, c’est qu’elle finit toujours par arriver pour autant qu’on continue à poser les questions!

Et puis le monde a totalement changé!

Depuis la folie de ce que les médias et les gouvernements appellent la pandémie mondiale tous les comportements, toutes les prises de positions, toutes les attitudes sont exacerbées et l’absurdité, la stupidité, les jugements, les rigidités des uns et des autres, y compris les nôtres, nous sont exposés avec une telle évidence qu’il nous est impossible de les nier.

La conscience vient quand on s’y attend le moins…

C’est ainsi que, me baladant récemment au centre-ville, assaillie par les injonctions sanitaires et observant avec effarement comment mes concitoyens intégraient si facilement la distance sociale, la lumière me vint ! Soudain, j’eus une vision d’un monde où la peur latente de peut-être mourir d’une attaque virale incontrôlable aurait pris une allure d’habitude, d’un monde où plus personne ne pourrait se toucher, où l’on ne s’embrasserait plus, on ne se serrerait même plus la main, où chacun vivrait dans une peur sourde d’approcher l’autre, où chacun se replierait dans la pseudo sécurité de son cocon hyper aseptisé, et où ceux qui savent que le toucher est un besoin essentiel pour le développement et l’épanouissement des corps et des êtres devraient enfreindre la loi pour tout être naturellement avec les corps…

Il n’en fallut pas plus! En une fraction de seconde, je compris, que je ne voulais certainement pas de ce monde-là ! Ni pour moi, ni pour mes enfants et encore moins pour les générations futures. En un clin d’oeil, je vis défiler les futurs vers lesquels nous irions si nous ne choisissions pas sur le champ d’être les incroyables catalyseurs de changement que nous sommes tous et que nous nions tellement fort à coup de jugements de nous que nous restons plafonnés au maximum acceptable de la normalité…

Oui, je serais désormais la plus grande version de moi-même. Non, désormais je ne tolérerais plus de me juger, de céder à la comparaison, à l’apitoiement de moi ou à toute autre attitude qui m’empêcherait d’être ce catalyseur capable de créer un monde totalement, radicalement et absolument différent. Un monde où chacun saurait qu’il peut choisir d’être heureux, épanoui, riche et contribuant pour tous et pour la planète. Je n’ai aucune excuse, j’ai les outils pour y parvenir avec aisance et dans la joie. Désormais, je choisirai à chaque instant d’être celle qui permet ce monde-là et je m’autoriserai à oublier de choisir de temps en temps sans me juger, tout en sachant qu’à chaque instant, je peux faire un nouveau choix.

C’est exactement là, au point du choix, que le fameux libre-arbitre a été tellement sous-estimé et où la prétendue fatalité de la souffrance a occulté la disponibilité permanente du choix.

Et vous, que désirez-vous créer dans le monde ?

Vous permettrez-vous de poser la question encore et encore ? Et quand vous aurez pris conscience de ce que vous désirez créer dans le monde, reconnaissez-le, appropriez-vous-le et posez encore et encore la question, car une prise de conscience est éphémère, vous pourriez très bien prendre conscience d’autre chose. Ce que vous désirez créer dans le monde peut changer, évoluer, s’affiner à chaque instant, ce n’est pas quelque chose qu’on trouve une fois pour toutes et que l’on coule dans du béton. Alors, ne vous arrêtez pas à la première prise de conscience, n’en faites pas une conclusion immuable !

Envie d’aller plus loin ? Lisez le livre Sois toi et change le monde du Dr Dain Heer

Article

« Et toi, qu’est-ce que tu penses du corona ? »

Une amie me posait cette question récemment et je n’y ai pas répondu parce que je ne savais que répondre. Elle doit d’ailleurs me trouver bien grossière de l’avoir laissée en plan avec sa question. J’espère que cet article sera une contribution pour elle. Je la remercie donc de m’avoir posé cette question qui m’a amenée à m’en poser moi-même des tonnes.

Je dois me rendre à l’évidence, je n’en pense rien.

Il y a des milliards et des milliards de virus et bactéries sur cette planète et le fait que la civilisation a cru bon de paralyser la planète quasi entière pour celui-ci m’échappe. Mais je n’entrerai pas ici dans un quelconque débat qui serait vain. Je n’ai personne à convaincre de quoi que ce soit… J’observe simplement ce qui se passe.

Aujourd’hui, celui qui détient le pouvoir, c’est celui qui détient les données.

Nous vivons dans un monde où tout se technologise de plus en plus, où tout est de plus en plus dicté par du non-humain, par des intelligences artificielles qui font fi de toutes les intuitions, inspirations, talents et génies personnels pour privilégier les statistiques, les probabilités, les projections. Aujourd’hui, celui qui détient le pouvoir, c’est celui qui détient les données. Dont il dispose et qu’il dispense pour servir ses intérêts.

La dictature des experts

Ensuite, les données sont livrées à des analystes, des experts qui bien souvent n’ont aucun contact avec le « terrain » et dictent la conduite à suivre face à un virus dont ils ne savent rien pour conseiller des gouvernements qui en savent encore moins. Et sous le spectre menaçant d’un désastre planétaire, des pans entiers de la population suivent, angoissés, inquiets ou paniqués, pris par le doute, les injonctions sécuritaires et sanitaires sans se poser de questions.

Qui sait le mieux ce qui se passe dans votre corps?

Imaginez que l’on vous diagnostique d’une maladie dite « grave ». Prenez-vous ce diagnostic pour argent comptant ? Ou bien interrogez-vous votre corps pour savoir exactement ce qui se passe pour lui ? Oups, je viens de trahir ma bizarrerie ! Mais au fond, qu’est-ce qui est le plus bizarre ? Consulter son corps pour savoir ce qui se passe avec lui ou bien demander à un étranger ce qui se passe ? Bien sûr, ce dernier pourra vous fournir certaines informations, mais qui confronte l’information à la réalité du corps ?

J’ai pris conscience que je faisais cela avec ma santé. Avant. Et avec les spécialistes des domaines où j’avais décidé que je n’y connaissais rien. Et ce faisant, j’ai totalement nié ce que je savais ou ma capacité à poser des questions pour distinguer les informations utiles des mensonges.

Que savez-vous, réellement ?

La réalité est qu’au-delà des connaissances définissables et consignables par écrit dans une bibliothèque de connaissances, il y a ce que vous SAVEZ. Mais le savoir n’est pas une commodité couramment reconnue dans notre monde… Si vous ne pouvez justifier par la raison votre propos, celui-ci sera tout simplement invalidé. Nous vivons dans un monde de preuves.

L’illusion de la « preuve »

Mais peut-on jamais prouver quoi que ce soit ? Internet, les instituts de recherche en tous genres, ne sont-ils pas remplis de vérités prouvées… et contradictoires ? Les informations que l’on nous livre sont-elles exactes ? Il faudrait être bien naïf pour croire que toutes les informations dont on nous inonde au quotidien sont correctes et même que l’intention de ceux qui la fournissent est de nous dire la « vérité »…

Un outil fiable pour accéder à votre savoir: la question !

Alors, voici un outil formidable pour accéder à VOTRE savoir. Quelque chose qui fait vous sentir plus léger est vrai pour vous et quelque chose qui fait vous sentir plus lourd est un mensonge pour vous. C’est tout. Après, il s’agit de s’entraîner pour percevoir progressivement de plus en plus clairement le léger et le lourd.

Posez des questions sur absolument tout pour accéder à cette clarté. Si vous n’aviez aucun point de vue ni jugement sur rien, demandez : Vérité…

  • Qu’est-ce que je sais, moi, sur le Coronavirus et la Covid ?
  • Est-ce que mon corps est susceptible de l’attraper ?
  • Si oui, Corps, quelles mesures dois-je prendre ? Que requiers-tu ?
  • Si non, suis-je un risque pour les autres ? Quelles mesures dois-je prendre ?
  • Parmi tous les outils, remèdes, nutriments, aliments, etc. à ma disposition, lequel sera-t-il une contribution pour mon corps ?
  • L’information que tel média/gouvernement me donne est-elle correcte ?
  • Cette information est-elle correcte ? Partiellement correcte ? Incorrecte ?
  • Ces experts savent-ils vraiment de quoi ils parlent ?
  • Ce gouvernement/cette institution/cette compagnie pharmaceutique ont-ils vraiment à cœur le meilleur intérêt de la population ? Partiellement ? Pas du tout ?
  • Quand j’ai peur, je doute, etc., suis-je dans la réaction ? Et si je n’étais pas dans la réaction, qu’est-ce que je saurais ?

Et ainsi de suite… Et surtout ne cherchez pas de réponse ! Une question renforce, une réponse déforce… Observez si cela vous rend lourd ou léger, et/ou oubliez que vous avez posé cette question, et l’information vous viendra.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, cette façon de procéder est très fiable. Vous saurez exactement à quoi vous en tenir. Et n’oubliez pas que ce qui est vrai pour vous, ne l’est pas forcément pour quelqu’un d’autre !

Et que cela ne vous empêche pas d’avoir toujours un masque sous la main et d’appliquer les règles et recommandations en vigueur autour de vous. Choisissez simplement de les appliquer en conscience, et non par réaction ou peur… Qu’est-ce qui va créer le plus pour tout le monde ?

Article

Quel genre de parent êtes-vous ?

Quel genre de parent êtes-vous ? Et quel genre de parent désireriez-vous être ?

La vie se déroule et pouf, tout d’un coup, vous voilà parent ! Si vous êtes comme moi, vous avez probablement écumé l’équivalent d’un camion plein de livres sur le sujet et vous vous êtes senti mal ou perplexe… Aujourd’hui, nous avons à notre disposition des tonnes de ressources, méthodes et experts… Vous n’y voyez toujours pas plus clair ? Et si l’expert, c’était vous ?

Un long fleuve tranquille ?

Nous naviguons à travers la vie selon un plan secret. On naît, et pas très longtemps après, on sait que ce qui nous attend — école, études, travail, partenaire, enfants. Après ça, l’histoire s’arrête, « The End », « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. » Pourtant, si vous êtes parents, vous savez que l’histoire est loin d’être finie. Et que la vie de famille n’est pas un long fleuve tranquille ! À moins que…

Tout pour être heureux ?

Donc, si vous n’avez pas tout ça — école, travail, couple, enfants — vous n’êtes pas heureux. Alors, vous suivez le chemin tout tracé. Le programme tourne en arrière-plan et, en général, rien ne vient vous dire : « Eh, psst, regarde un peu où tu vas… C’est vraiment là que tu veux aller ? Autre chose est possible ! »

Et si vous êtes un peu rebelle, devinez quoi ? Vous n’êtes pas heureux non plus, parce que vous avez choisi le contrepied du plan par réaction, mais vous n’avez pas choisi ce que VOUS vouliez vraiment…

Si vous lisez ceci, c’est que probablement, en votre for intérieur, vous savez que quelque chose d’autre est possible, c’est juste que le programme a bien fait son travail — vous n’avez pas posé de question. Vous avez suivi le plan. Le moment est donc venu de poser des questions…

Quel parent suis-je et quel parent voudrais-je être en réalité ?

Tant qu’on ne pose pas de question, on est souvent soit nos parents, soit l’opposé de nos parents. Est-ce que ça marche ? Non. La question permet d’ouvrir les horizons : « Si je pouvais être n’importe quel parent, quel genre de parent est-ce que je serais ? » Et surtout, ne cherchez pas à répondre, laissez flotter la question et recevez les informations qui vous viendront naturellement. Cela s’appelle une prise de conscience !

Et partout où vous vous dites « Oh mon Dieu ! Je suis ma mère ! » ou « Oh mon Dieu ! Je suis mon père ! », ne vous jugez surtout pas. C’est ce que nous faisons tous avant d’apprendre à poser des questions ! Reconnaissez-le simplement et demandez : « Si je n’étais pas ma mère/mon père ici, qu’est-ce que je choisirais ? »

Cherchez-vous à être un « bon parent » ?

Le problème est que l’on souhaite être un « bon parent », on voudrait faire tout « comme il faut ». Donc, nous voilà plongés dans la littérature pédiatrique, les bibles de l’éducation, à écouter les histoires, les avis et les points de vue bien arrêtés de notre entourage, des pédiatres, gynécologues, à nous plonger dans des documentaires, en cherchant les réponses. Toute réponse est un jugement : ça, c’est bien ; ça, c’est pas bien.

Pas des vérités universelles, juste des informations…

Ne jetons pas pour autant le bébé avec l’eau du bain. Avoir à sa disposition des sources d’information tant psychologiques que médicales peut être riche pour autant qu’on ne les prenne pas pour argent comptant. Il s’agit simplement d’informations. Certaines sonneront « vrai » pour vous (celles qui vous donneront une sensation de légèreté) et d’autres sonneront « faux » pour vous (celles qui vous donneront une sensation de lourdeur).

Il n’y a pas de vérités universellement applicables. Chaque parent et chaque enfant et chaque situation est unique. Vous pouvez demander : Qu’est-ce qui est requis ici et maintenant ? Qu’est-ce qui va fonctionner ?

Doutez-vous de votre savoir ?

Je me souviens avoir eu affaire à un médecin que je ne connaissais pas parce qu’il me fallait un certificat médical pour l’école de ma fille de 4 ou 5 ans à l’époque et le médecin habituel était lui-même malade. Il me bombardait de reproches parce que d’après lui je prenais à la légère l’état de ma fille, il la voyait déjà handicapée à vie, alors que je savais qu’elle avait juste un refroidissement. Ma fille était horrifiée par tout ce qu’il racontait tandis que je tentais désespérément faire comprendre par signes au médecin qu’il était en train de lui faire peur et qu’il fallait qu’il se taise. En vain.  

Alors qu’il mettait en doute le fait qu’elle n’ait pas de fièvre — non, je n’avais pas utilisé d’instrument pour le savoir… – en brandissant son thermomètre, il fut obligé d’admettre qu’elle n’en avait pas. Il était déçu de ne pas avoir eu d’information supplémentaire à me donner. Je me tus et pris docilement la prescription qu’il me donna avec le certificat. Ce jour-là, je n’ai pas douté de ce que je savais. Je ne me suis pas culpabilisée. Je savais que la situation était bénigne et que ma fille requérait simplement du repos et beaucoup de câlins !   

Le doute est l’un de vos pires ennemis. Si vous éradiquez le doute de votre vie, vous serez à même d’entendre votre propre savoir, et lui, ne fait jamais aucun… doute ! Et dans la foulée, vous ne culpabiliserez plus. Vous ferez confiance en votre savoir.

Quelques questions à poser…

  • Si je pouvais être n’importe quel parent, quel genre de parent est-ce que je serais ?
  • Si je n’étais pas ma mère/mon père ici, qu’est-ce que je choisirais ?
  • Qu’est-ce qui est requis ici et maintenant ?
  • Qu’est-ce qui va fonctionner ?

Article

La mue

Dimanche soir, je rentrais d’une classe Synthèse énergétique d’Être (ESB) d’Access Consciousness® avec le Dr Dain Heer. Comment te dire… Non, la conscience n’est pas forcément confortable. Cette classe avait eu pour prélude un acte brutal et rapide (un vol à la portière) riche en prises de conscience et… en cadeaux. Oui oui. En cadeaux. Car vivre ce genre d’événement avec autant d’aisance, de non-jugement et de gratitude fut pour moi et ma compagne de route et de classe une surprise qui nous a inspiré la reconnaissance envers nous-mêmes de persister à utiliser les outils si simples et pourtant si efficaces d’Access. Bref, le ton était donné. Une secousse.

Non, la conscience n’est pas forcément confortable

Ces trois (millions de) jours que cette classe a duré ont été aussi secouants, mais aussi abondamment ponctués d’expressions de gratitude et de joie, de vulnérabilité incroyable, de contributions mutuelles et de transformations. Alors, même si mon corps avait des raisons « objectives » d’être dans un état physique un peu troublé, je suis rentrée de cette classe dans un état très différent de ce que j’avais déjà vécu après de telles journées. Avec une conscience aiguë que quelque chose s’était passé, d’heureusement irrémédiable, que jamais plus je ne pourrais jouer les merdes pathétiques et que le moment était enfin venu de contribuer magnifiquement à changer radicalement cette P* de réalité…

3, 2, 1… Matrix

J’ai passé ce lundi dans un état second, entre fièvre, turbulences ORL et troubles menstruels et bien qu’ayant rejoint mon lit à une heure prématurée, je ne pouvais dormir. Mmm, envie de regarder un film. Tiens, Matrix, ça faisait longtemps… Et à mi-film, le sommeil veut prendre le dessus… Je frissonne fiévreusement sous ma couette, je me pelotonne et m’assoupis plus que je ne m’endors.

Entre rêve et veille, je vis les images du film. Oui, je prendrai la pilule rouge, merci. Je n’ai déjà plus de souvenirs précis de mon rêve, mais j’ai conscience que je viens de vivre une espèce de transformation, des prises de conscience profondes et je me promets de partager cela dans ce blog… Merttt ! J’ai oublié ce que je voulais mettre en mots pour toi lorsque j’étais encore à moitié plongée dans mon rêve !

Jamais auparavant les dialogues de ce film ne m’avaient été aussi limpides. C’est comme si, d’un coup j’étais capable de recevoir ces répliques. Et bien entendu, ce fut un hasard absolu si en frôlant malencontreusement l’écran de mon téléphone en le préparant à son mode sommeil, j’ai réalisé (après trois ans d’utilisation…) que je pouvais regarder ma bibliothèque de vidéos sur ce support !

Comment te dire ? Dans mon état fiévreux, mêlé des images du film, je traversais moi aussi le voile de cette réalité, accédant à une conscience toute nouvelle. C’était comme si mon corps et mon être nettoyaient le vieux moi qui entrait dans le Royaume de Nous. Comme si je m’extrayais de l’espace-temps pour entrer dans un nouvel espace hors définition, hors linéarité, hors polarité ; cette fameuse réalité des possibilités, enfin disponible pour nous tous.

Et en cherchant le titre de ce témoignage, partie sur du « 3, 2, 1 Matrix » ou du « Bienvenue au Royaume du Nous », me vient d’un coup l’image de la mue du serpent… pour réaliser que Dain (le Dr Dain Heer), le matin du premier jour de la classe – il y a 45 mille ans 😉 – avait justement évoqué cette image pour tenter de décrire ce que faisait cette classe ! Et bien voilà, j’ai laissé ma vieille peau, mon vieux moi, cette nuit quelque part, entre rêve et veille.

Qu’est-ce qui va être possible maintenant pour nous tous sur cette planète qui ne l’a jamais été auparavant ?

Article

Es-tu prêt à perdre la tête ?

Ce matin, ma fille (11 ans) me racontait son rêve de la nuit précédente où elle était dans un couloir avec des copains et où chaque porte correspondait à une réalité différente. Et quand elle a choisi de passer l’une des portes, son nom dans cette réalité-là était « Huit ». Sur quoi je lui rappelle que le 8 c’est pour créer une réalité qui n’a jamais existé auparavant.   Et la voilà qui s’extasie : « Waouuuuuuuuuuh ». Puis elle me regarde et fait : « Je ne comprends pas ». Pause. « Ah non, je ne vais pas essayer de comprendre. Quand j’essaie de comprendre, j’oublie ce que j’avais compris avant d’essayer de comprendre. »

Compris ? 😉

Comprendre et comprendre…

Ma fille a donc merveilleusement capté la différence entre comprendre dans le sens de savoir énergétiquement et essayer de comprendre avec sa tête… Dans cette réalité, nous sommes constamment entraînés et encouragés à penser, réfléchir, comprendre, à avoir de la logique et du bon sens. Et si tout cela n’était qu’un écran de fumée qui nous empêche d’accéder à notre véritable savoir ?   Combien de fois dans ta vie, as-tu juste SU ce qui était vrai pour toi ? Combien de fois dans ta vie as-tu juste compris, sans mots, avec un sentiment de « C’est ça ! » ? Et combien de fois as-tu fait un choix totalement farfelu sur une impulsion que tu as appelée intuition, et qui s’est avéré être un choix très expansif, contre toute logique ?  

 Observe ici le réflexe que nous avons. Ma fille a compris énergétiquement. Elle sait. Et hop, une fraction de seconde plus tard, son réflexe l’emmène dans sa tête pour tenter de comprendre, de mettre des mots sur quelque chose qui dépasse de très loin les mots. Elle saisit ensuite rapidement qu’en faisant cela, elle « perd » son savoir, elle fait fi de ce qu’elle sait véritablement. Heureusement, sa conscience lui permet de s’en rendre compte et de dire STOP à sa tentative de comprendre cognitivement.

Quel job as-tu confié à ton esprit ?

C’est parce que vois-tu, à part gérer la survie et l’épanouissement de ton corps, ton cerveau n’a rien d’autre à faire ! Et tu lui demandes de réfléchir et de penser et de gérer toute sortes de choses qu’il n’est pas destiné à gérer ! Es-tu vraiment prêt à perdre la tête ?   Si tu veux récupérer ta pleine puissance et ton plein potentiel, il serait bon d’expliquer à ton esprit que tu le remercies pour ses efforts, mais qu’il n’est pas fait pour ce job… Et si le moment était venu pour toi de reprendre le pouvoir que tu as donné à la pensée et à la réflexion ? Clairement, la pensée et la réflexion ne sont pas à la hauteur de nos attentes ! Et si tu pouvais TE faire confiance ? Ne pas céder à la tentation d’aller dans la tête chaque fois que tu es face à une situation que tu appelles problème…   C’est vrai, perdre la tête, c’est un grand saut… C’est un peu comme Will Smith qui raconte son saut en parachute. Une fois que tu as sauté, c’est tellement jouissif et extraordinaire que tu te demandes bien pourquoi tu en as fait tout un plat et pourquoi tu as tergiversé si longtemps, douté de toi, de tes choix et pourquoi tu avais si peur…  

Article

Parlez-vous énergie ?


Moi, les langues, c’est comme Obélix, je suis tombée dedans quand j’étais petite. Et comme personne ne me disait que je ne pouvais plus y goûter puisque j’étais-tombée-dedans-quand-j’étais-petite, ben, évidemment, je me suis limitée moi-même et j’ai tourné autour du pot pendant des plombes avant de choisir mes études de traduction. Biologie ? Économie ? C’était trop évident vois-tu… Avez-vous remarqué comme on se complique la vie ?

Puis, comme je suis née dans un nid de polyglottes, pour moi les langues c’était « normal » et l’aisance avec laquelle je les pratiquais me paraissait bien banale… Avez-vous remarqué comme on dévalorise les choses que l’on fait avec aisance ? Qu’est-ce qu’il peut bien y avoir d’exceptionnel à parler trois langues quand on a trois ans, alors que la plupart des gens de mon entourage en parlent au moins quatre !

Puis, chemin faisant, non seulement j’ai étudié les langues, je les ai utilisées, j’en ai ajouté. Bien entendu, en précisant bien à mes interlocuteurs que je ne les maîtrisais pas du tout ! Avez-vous remarqué comme on a besoin de se diminuer ? Je les enseigne, traduit, par écrit et oralement, et surtout, surtout je JOUE avec la langue, les langues, ma langue – oui, oui, cet organe musculeux qui se trouve dans notre bouche -, et en jouant, je jouis,  je suis joie, je sème la joie !

Les langues et les langages (la musique et les arts en général, l’informatique, la nature…) me fascinent et m’enchantent. Parce qu’ils ne sont au fond qu’une seule et même chose… l’énergie !

Savez-vous que notre premier langage est l’énergie ? 

Chaque mot a sa propre vibration et ce ne sont pas tant les mots qui nous touchent que leur vibration. On n’entend pas tant avec les oreilles qu’avec notre perception subtile. Peut-être as-tu vu ces photos de l’eau qui se structure autrement en fonction de la musique et des mots qu’elle « entend ». Oui. Nous changeons le monde avec les mots. 

Quels mots choisissez-vous de dire et que vont-ils créer dans le monde ?

Combien d’entre vous pensent ne pas être doués pour les langues ? Et si votre talent n’avait rien à voir là-dedans ? Et si la seule chose qui vous empêchait de pratiquer les langues avec aisance était que vous as gobé tant de mensonges sur vous-même et sur l’apprentissage ? Et s’il suffisait d’être l’énergie d’une langue pour pouvoir l’utiliser ?

Oh, je t’entends déjà, s’il suffisait, c’est bien joli tout ça ! Et pourtant, je suis témoin de moi-même et des personnes que je facilite pour nettoyer tout ce fatras de croyances et de blocages fabriqués que nous utilisons pour ne pas être les formidables polyglottes que nous sommes en réalité. De personnes qui après une facilitation langues se mettent à comprendre une langue qu’elles ne connaissaient pas avant, ou qui ont beaucoup plus d’aisance pour s’exprimer dans une langue que… la veille, et cela ne se limite pas à la linguistique, mais à tous les langages…

Un premier outil pour commencer…

Laissez-moi vous donner un petit outil pour commencer à vous ouvrir les portes de l’aisance avec les langues… Savez-vous que quand vous posez une question, vous vous ouvrez à toutes les possibilités et que quand vous y répondez, vous fermez toutes les portes pour ne plus voir que la réponse que vous pensez être la « bonne » réponse ?

Alors, posez-vous cette question :

Quelle énergie, espace et conscience puis-je être maintenant pour parler/comprendre le xxx avec totale aisance ?

Et tout ce qui ne vous permet pas d’être cela, envoyez-le balader… Répétez-la autant de fois que nécessaire, jouez avec elle, sans attente. Et observez ce qui se passe…

Suivez les événements publiés sur ma page Facebook pour expérimenter plus en profondeur le pouvoir des questions pour t’ouvrir à l’aisance avec les langues. 

PROCHAIN SEMINAIRE EN LIGNE les 19, 20 et 21 novembre 2021
INTRODUCTION : https://www.katiouchazakhanevitch.com/intro-plus-d-aisance-avec-les-langues-et-la-communication-2-5-jours WEEK-END COMPLET : https://www.katiouchazakhanevitch.com/plus-d-aisance-avec-les-langues-et-la-communication-2-5-jours

CLIQUEZ ICI pour démarrer avec les séminaires Plus d’aisance avec les langues et la communication